25 ans après l’immense succès de « LA VIE INTERDITE » *, Didier Van Cauwelaert retrouve son héros Jacques Lormeau. Ce quincaillier est exhumé par décision de justice dans le cadre d’une recherche en paternité. « Trente-trois personnes sont debout en demi-cercle autour de ma tombe » (…) « L’exhumation a lieu un lundi, jour de fermeture de la quincaillerie. Tout le personnel est venu, entourant ma veuve et mon fils… ». Ainsi commence ce dernier roman de Didier Van Cauwelaert. Un roman où de mêle habilement humour, tendresse et émotion. Un roman qui fait du bien.
DIDIER VAN CAUWELAERT
Né à Nice, le 29 juillet 1960. Romancier, auteur dramatique, scénariste, librettiste, Didier van Cauwelaert cumule depuis ses débuts prix littéraires et succès publics. Souvent qualifié « d’écrivain de la reconstruction », il est l’un des rares romanciers à avoir été adapté au cinéma à Hollywood. Traduit dans une trentaine de langues, il a publié plus de quarante livres, qui ont dépassé les six millions d’exemplaires. Didier Van Cauwelaert c’est 44 romans, 15 prix littéraire (dont le Goncourt en 1994 pour « un aller simple » et de nombreuses adaptations pour le cinéma. Didier van Cauwelaert a régulièrement pris position pour la communication avec les personnes mortes et en faveur d’une vie après la mort : « Je ne sais pas si La Vie absolue est un roman testament. Ce qu’il m’importait d’écrire, c’est une histoire de reconstruction posthume au service des vivants. Une comédie d’enfer avec un arrière-goût de paradis… »
« LA VIE INTERDITE » parue en 1997 est actuellement en Livre de Poche (déjà 250 000 exemplaires vendus).