Le One Ocean Summit s’est tenu du 9 au 11 février 2022 à Brest, rassemblant 41 États, des représentants de la société civile et des entreprises. Plus de 100 pays, venus de tous les bassins maritimes et représentant plus de la moitié des zones économiques exclusives mondiales, ont fait part de leur détermination à préserver les océans en contribuant aux « Engagements de Brest pour l’Océan », aux côtés du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, de la directrice générale de l’UNESCO et du Secrétaire général de l’Organisation maritime internationale. Les travaux du One Ocean Summit sont le point de départ d’une série de rendez-vous internationaux pour lesquels l’Océan sera central, notamment la Conférence des Nations Unies sur l’Océan de Lisbonne en juin, mais aussi la COP27 accueillie par l’Égypte à l’automne.
LE CLUB DES PLUS BELLES BAIES DU MONDE était présent à ce sommet. Bruno BODARD, co-fondateur et Directeur Général, du Club, nous détaille les propositions et la participation de cette ONG internationale reconnue par l’UNESCO :
Pour rappel les engagements pris par le One Ocean Summit :
Plus de 100 pays, venus de tous les bassins maritimes et représentant plus de la moitié des zones économiques exclusives mondiales, ont fait part de leur détermination à préserver les océans en contribuant aux « Engagements de Brest pour l’Océan », aux côtés du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, de la directrice générale de l’UNESCO et du Secrétaire général de l’Organisation maritime internationale.
Les principaux engagements :
-PROTÉGER LA BIODIVERSITÉ ET LES RESSOURCES DE NOS OCÉANS,
-UNIR NOS FORCES À CELLES DE L’OCÉAN FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE,
-EN FINIR AVEC LA POLLUTION PLASTIQUE DES OCÉANS,
-INSTALLER L’OCÉAN AU CŒUR DE L’AGENDA POLITIQUE INTERNATIONAL.
Enfin,
L’Union européenne s’est engagée à se doter d’un jumeau numérique de l’océan qui permettra de rassembler les savoirs et de tester des scénarios d’action, au service de la croissance bleue européenne et de la gouvernance mondiale. L’UNESCO s’engage à ce qu’au moins 80 % des fonds marins soient cartographiés d’ici 2030.