« Check-point de Birkil’in, vaste point de contrôle creusé dans le mur de séparation.
Le mur, une « forteresse » puissamment gardée, démesurément haute.
Les Aiaches l’ont construit pour se protéger des Inerites, le peuple ennemi.
Il y a des siècles… »
Ainsi commence « HANÀ », le dernier roman de Dominique Le Nen.
Une femme, un homme, le mur et un attentat dont ils sont les seuls survivants et…l’amour.
La rencontre et l’amour, hier encore improbables de ces deux rescapés, sera-t-il porteur d’un futur apaisé ? Hanà, conte fantastique, conte philosophique ? Certes héros et pays sont fictifs, mais ce livre, dont la trame est d’actualité, aborde le thème de l’amour qui transcende l’intolérance des peuples. Ce roman, ode à la réconciliation entre les nations, est porteur d’un espoir de paix. Pour que tous les murs visibles ou invisibles disparaissent et que les forteresses de la haine et de l’intolérance deviennent ruines.
Retrouvons Dominique Le Nen :

DOMINIQUE LE NEN : Professeur des Universités, Chirurgien des hôpitaux est co-fondateur du SOS Mains au CHRU de Brest. Docteur en Épistémologie, il s’investit également dans la chirurgie humanitaire. Un jour le scalpel, une autre l’ordinateur. Le travail des mains guidé par la pensée l’a tout naturellement mené à l’écriture. Il est l’auteur d’ouvrages consacrés à la thématique « sciences et art » dont L’anatomie au creux des mains, au confluent des sciences et de l’art (Éd. L’Harmattan, 2007), Léonard de Vinci, un anatomiste visionnaire (Éd. L’Harmattan, 2010), Léonard de Vinci, l’aventure anatomique (Éd. E/P/A Hachette, 2019), d’un essai-témoignage de son expérience humanitaire, De Gaza à Jénine, tant que la guerre durera (L’Harmattan, 3e Éd. 2017). Il a co-signé avec Patrick Moureaux Le fabuleux destin de la main (Donjon Éditions, 2019) et en 2020 avec Geneviève Hery-Arnaud, la biographie d’un médecin célèbre : Pierre Le Damany, un grand médecin breton (Éd. L’Harmattan).