La rive droite du port, c’est le quai Éric Tabarly, l’esplanade Simone Veil, la rue du port, la place Théodore Decker et enfin la promenade de La Rabine. À la fin du XVIe siècle, la ville est à l’étroit dans ses remparts et on commence à urbaniser les espaces hors-les-murs. La rive droite (faubourg du Kaer) se développe au sud-ouest du bastion de Gréguennic. Une rue est percée, la rue du port, et un système d’adduction d’eau potable est aménagé. Très vite, le long de cette rue, demeures de marchands, celliers et maisons de notables investissent ce lieu. Une grande partie des 160 maisons à pan de bois de Vannes y sont encore présentes, témoin du riche passé de ce quartier.
À NOTER : le 34 rue du port, la plus ancienne. Elle date de la moitié du XVe siècle.
LA MAISON DES 3 PILIERS et LA CHAPELLE DE L’ANCIEN COUVENT DES URSULINES.
LES COUVENTS DES CARMES DÉCHAUSSÉS ET DU PÈRE ÉTERNEL.
(Respectivement au 16 et au 18 place Théodore Decker)
À Vannes, durant le XVIIe siècle, couvents et monastères fleurissent aux quatre coins de la ville et notamment au-delà de la muraille. Pas moins de onze ordres religieux s’y installent. Deux s’établissent au bout de la rue du port, place Théodore Decker actuelle. Au 16, les Carmes Déchaussés, pour les hommes et le Père Éternel pour les femmes.
COUVENT DU PÈRE ÉTERNEL DEVENU MAISON DES SŒURS DE LA CHARITÉ SAINT LOUIS.
LE KIOSQUE À MUSIQUE et la promenade de LA RABINE
