Formé à la peinture et à l’art en Bulgarie, Varban s’est entiché d’une Vannetaise en vacances à Varna et décide alors de tout quitter pour la suivre.
Arrivé à Vannes, il commence à peindre des aquarelles devant la cathédrale ou le port.
Son talent et sa perception originale due à une connaissance des traditions de son pays et de la force des symboles, lui donnent assez vite une certaine reconnaissance.
Varban va également savoir utiliser intelligemment son approche polyculturelle pour s’imposer peu à peu dans le paysage vannetais
Et, comme il n’oublie pas de s’intéresser constamment à son pays d’origine, il est considéré comme un fin connaisseur des bouleversement en Europe de l’Est.
Son Graal, il l’obtiendra un jour par l’acquisition par le musée de Vannes de plusieurs de ses toiles.
Reconnu et complètement vannetais à présent, Varban arrive à maturité et comme signe d’une paix retrouvé, il envisage de reposer cet été son chevalet dans Vannes où tout a recommencé pour lui il y a 32 ans.